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BAL DES MONSTRES # 4
1 novembre / 18 h 00 à 23 h 30

Entre le carnaval sauvage et le brunch de la feuillade il y a quoi….
LE BAL DES MONSTRES VOL #4 !
C’est le 1er novembre, jour des morts, à la salle des fêtes de Faux la Montagne
Ouverture des portes à 18h avec
DIEULUNE ET LA GRENOUILLE, création sonore et scénique, pour tous les âges, portée par deux magicien-nes qui envoutent instruments électroniques, percussions et objets curieux pour chanter un voyage fantasmagorique des origines du monde au voyage d’une grenouille. https://zamzamrec.bandcamp.com/album/dieu-lune-et-la-grenouille
CHEVALLE MAGIQ, avec deux ailes et un cul, Chevalle écrit des textes pour plein de raisons différentes, Magiq fait plein de musiques avec des machines. C’est sérieusement vénère. Drôlement joyeux. ça fait bouger le popotin. C’est la violence, la joie et la sensibilité, comme une glace parfum trois chocolats. https://chevallemajiq.bandcamp.com
REPAS avec l’amicale mille feux et FRITES chantées avec les BANTURLES
A partir de 21h30
SPROT DIMANCHE, le sport vous fatigue, vous rend irritable, vous déprime peut-être ? Ne cherchez plus, le sprot est fait pour vous ! Dans une ambiance tonique et sympathique Professeure Postérieur professe sa spécialité : l’aérobic sauvage et grotesque. Les mouvements sont calibrés sur l’enthousiasmante musique de Frédéric Choupi, pour que sueur rime avec bonne humeur! Venez joyeusement célébrer le nerf secret qui relie le postérieur aux zygomatiques. Osez chatoyer! Tenue sprotive hautement recommandée. https://www.lesateliersduvent.org/sprot-dimanche
LE DIABLE DEGOUTANT, D’où croyez-vous venir? Où croyez-vous aller? Lasciate ogni speranza, voi ch’entrate : vous qui la nouille à l’air passez le seuil de ce bal, laissez-donc là toute espérance, et glissez dans le sillage vénéneux du diable votre guide.
CLAUDE SOURIRE, un orgue, des effets, tourner en boucle, rentrer dans, répéter jusqu’à partir /oublie la tête/peur en face plonger dans. Peut être la dernière nuit de l’orgue.https://claudesourire.bandcamp.com
On se retrouve là-bas, de l’autre côté
CAICAI