Deux informations à partager avec les parents d’élèves mais plus largement avec les habitants et habitantes de la commune, l’une concerne le périscolaire et son adaptation dans le cadre du protocole et l’autre, une explication concernant le « repas végétarien », en lien avec notre objectif communal d’approvisionner la cantine scolaire au maximum avec des produits en circuits-courts et de qualité. Nous faisons clairement ce choix pour soutenir les commerçants et les producteurs locaux.
Périscolaire : réduction de la capacité d’accueil à 8 enfants
En raison du protocole sanitaire et des travaux en cours à l’école, nous sommes contraints de réduire la capacité d’accueil sur le temps périscolaire de 12 à 8 enfants par soir (16h30-17h50).
Pendant ce temps d’accueil, nous ne sommes pas en mesure d’éviter le brassage des enfants venant des différentes classes. Dans ces conditions, nous devons assurer un minimum d’espace par enfant afin de limiter les risques de contamination.
Nous vous invitons à inscrire vos enfants les soirs désirés sur une période de 15 jours (si possible) auprès de Laure Grandjean, lors de l’accueil du matin (8h50-9h) ou le soir (16h30-17h15). En cas de demande supérieure à la capacité d’accueil, nous tenterons de trouver une solution par le dialogue avec les familles concernées. Il nous faut pour cela anticiper les besoins.
Nous vous remercions de votre compréhension.
Pourquoi des repas végétariens à la cantine ?
Depuis environ un an et demi, un repas végétarien est proposé chaque semaine à la cantine.
Ce repas, sans viande ni poisson, répond depuis, à une obligation légale entrée en vigueur le 1er novembre 2019. La Loi EGALIM impose en effet à toutes les cantines scolaires, de la maternelle au lycée, de proposer un repas végétarien par semaine. Les protéines animales sont ainsi remplacées par des protéines d’origines végétales (lentilles, pois chiches, haricots et autres légumes secs) associées à des céréales, par des œufs ou des produits laitiers.
L’objectif de cette expérimentation de 2 ans est la promotion des protéines végétales en restauration collective où elles ont été de plus en plus délaissées malgré leur intérêt nutritionnel. Par ailleurs, la diversification des protéines permettrait de faire des économies qui peuvent être réinvesties dans l’achat de produits de qualité.
Pour les trois autres repas de la semaine, nous cherchons effectivement à approvisionner la cantine au maximum avec des viandes de qualité issues de productions locales.
Et nous veillons à ce que l’ensemble des repas servis chaque jour aux enfants répondent aux exigences nationales relatives à la qualité nutritionnelle. Nous serions également tentés d’ajouter que les personnes en charge de la préparation des repas cherchent à satisfaire chaque jour les exigences, si ce n’est nationales au moins communales, de qualité gustative !